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LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA CONDAMNE A 10 ANS DE PRISON PAR LE REGIME KABILA

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Message par Mathilde Mer Mar 26 2014, 18:58

10 ans de prison requis contre Diomi..... MFKEvil or Very Mad  Twisted Evil  Shocked  Shocked  Mad 


LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA CONDAMNE A 10 ANS DE PRISON PAR LE REGIME KABILA
par mpp le 26 mars 2014
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LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA CONDAMNE A 10 ANS DE PRISON PAR LE REGIME KABILA Diomi-prisonier-politique-rdc
Au cours d’une énième audience nocturne et dans une salle vide,  les valets habillés en juges de la Cour Suprême de Justice ont recu l’ordre de la présidence de la Republique de la RDC de condamner le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala à dix ans de prison, sans droit de recours, à la suite d’un proces expéditif au cours duquel  aucun droit de la défense n’a été respecté.
L’opposant Eugène Diomi Ndongala, Président National de la Démocratie Chrétienne, paye ainsi sa revendication de la vérité des urnes et son combat sans faille pour le respect des libertés fondamentales des congolais et particulièrement de leur droit à se choisir leurs dirigeants.

L’Elu de Kinshasa a fait l’objet depuis deux ans de tortures et traitement inhumains et dégradants
.
Avec un   procès politique honteux au cours duquel aucun droit ne lui a été reconnu,  Joseph Kabila a voulu faire payer à Diomi Ndongala sa volonté de résister à la dictature  en RDC.
Pas du tous affecté par cette sentence qui ne fait que confirmer le climat de répression politique qui règne actuellement en RDC et qui rivalise avec les périodes le plus sombres de la dictature mobutiste, au point que Joseph Kabila compte s’éterniser au pouvoir par un mandat à vie taillé sur mesure par un charcutage systématique de la Constitution , Eugène Diomi Ndongala reste serein et déterminé dans son combat, rassuré par son innocence, devant Dieu et les hommes.
Même si privé arbitrairement de la liberté, Eugène Diomi Ndongala, prisonnier politique personnel de Joseph Kabila, plus que jamais reste le symbole des congolais qui ont le courage de la vérité et de la résistance contre l’imposture  avilissante  et illégitime qui règne actuellement au Congo Kinshasa.
Le Président Diomi Ndongala nous a rappelé ces versets du Psaume 23:
23:3
Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
23:4
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent
.
Vérité et Justice pour le Congo
Marc Mawete
Porte-parole de la
Démocratie Chrétienne

http://m.rfi.fr/ticker/contenu/rdc-opposant-congolais-diomi-ndongala-condamne-10-ans-prison-info-rfi
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Message par Mathilde Sam Mar 29 2014, 06:41

Règlemen de compte en RDC: justice arbitraire, procès truqué et tronqué et un arrêt nocturne



L’Arrêt de la Cour Suprême de Justice condamnant Eugène Diomi Ndongala, député national déchu et ministre honoraire, à dix ans de prison ferme, n’a nullement surpris tous ceux qui suivaient le dossier. A partir du huis clos décrété par cette haute cour pour empêcher la presse et le public d’assister à un procès des mœurs dont tous les détails ainsi que les identités du présumé auteur du double viol et des présumées mineures violées étaient sur la place publique, le sort du prévenu était scellé. C’était clair dès lors que ses avocats, mécontents du refus des juges d’examiner l’exception relative à la filiation controversée des victimes, s’étaient retirés de la barre. La sévérité du réquisitoire du ministère public – 28 ans de prison- était fort révélateur de ce qui attendait Diomi.

Il s’avère malheureusement qu’après le verdict, l’affaire Diomi laisse le goût d’une flagrante injustice à l’égard de l’accusé. Le non respect de plusieurs éléments de la procédure a conforté les observateurs dans la persistance d’une justice à deux vitesses en République Démocratique du Congo.

Pourtant, l’opinion publique avait grandement besoin de connaître la vérité dans les faits mis à charge de cette personnalité politique, dont la famille biologique figure dans les annales de l’histoire nationale, au crépuscule de la colonisation belge comme lors des deux premières République. Fils de Gaston Diomi, un des pères de l’indépendance, Eugène Diomi avait la dignité de tout un clan à défendre. D’où, il était nécessaire que l’accusation dépose, devant la barre, toutes les preuves de sa culpabilité.

Cela n’ayant pas été fait, le doute va continuer à envelopper à jamais un procès au goût d’inachevé. Qui va croire que Diomi a réellement commis un double viol, tant que l’on aura pas clarifié les relations de filiation entre les deux vraies-fausses sœurs prétendues victimes et leur vrai-faux père ? Qui va apaiser tous ceux qui attendent des réponses sur les dates de naissance controversées des deux filles, dont l’espacement des maternités est inférieur à six mois ? Qui va éclairer tous ceux qui doutent du lieu du délit, dès lors qu’une fille prétend qu’elle et sa sœur avaient été violées du côté de Huileries, au siège de la Démocratie Chrétienne, alors que sa permanence se trouve à Gombe, tandis que l’autre affirme qu’elles avaient répondu au rendez-vous de Diomi à sa propre résidence, à Ma Campagne.

Qui est réellement le monsieur qui se fait passer pour le père des victimes, d’autant que les rumeurs en circulation à son sujet le donnaient pour un opportuniste recruté pour les besoins de la cause ? En tous les cas, son comportement a paru fort suspect. En principe, un respectable père aurait eu pour premier réflexe de protéger l’anonymat de ses deux filles, mineures d’âge et partant futures candidate potentielles au mariage et à une vie professionnelle normale. Que non… ! Notre papa avait pris un malin plaisir à s’exhiber, aux côtés de ses filles, sur des chaînes de télévision, en vue de faire accréditer la thèse du viol. En affirmant haut et fort que les « services » rendus à Diomi étaient monnayés et qu’il avait abusé d’elles plusieurs fois, a-t-il pensé aux retombées négatives de son scénario, qui a plus fait passer lesdites filles non pas pour des victimes d’un viol mais des professionnelles du sexe ?

Ce sont toutes ses zones d’ombres que la Cour Suprême de Justice aurait dû éclairer. Il est fort dommage que cette juridiction n’ait pas réussi à évacuer tous les doutes qui planaient sur les prétendues relations sexuelles entre Diomi et ses « objets » de jouissance. Tout au long du procès, aucune démonstration de la flagrance des faits n’a été faite, ce qui fait penser que le précité a été condamné sur la base des présomptions, non étayées par des pièces à conviction, des témoignages ou des aveux.

Un roman policier à la congolaise

Pendant presque deux ans, de juin 2012 à mars 2014, la scène politique congolaise a été dominée par le feuilleton de l’affaire Diomi, marquée par des rebondissements à répétition. Lorsqu’en juin 2012, l’opinion tant nationale qu’internationale apprend qu’Eugène Diomi Ndongala, homme politique bien connu de la place de Kinshasa, ministre honoraire et député national élu, a échappé à une arrestation policière, au motif qu’il aurait violé deux filles mineures, c’est l’étonnement, mêlé de doute. Pour convaincre, la police du district de la Lukunga, qui a perquisitionné son présumé « abattoir » de l’avenue Colonel Ebeya, au restaurant-hôtel Green Garden, fait passer sur plusieurs chaînes de télévision les objets du délit : lit, matelas, préservatifs, produits aphrodisiaques, parfums, savons de toilettes, etc.

Cinglant démenti de l’incriminé, par le biais de son parti, la Démocratie Chrétienne, qui soutient qu’il s’agit d’un montage grossier car Diomi était rentré chez lui en début de soirée, après avoir présidé, devant témoins, une réunion préparatoire à la première sortie publique de la MPP (Majorité Présidentielle Populaire), en sa qualité de Coordonnateur de cette nouvelle plate-forme politique attachée à la vérité des urnes, à savoir la victoire d’Etienne Tshisekedi comme président élu de la RDC en novembre 2011.

Une semaine après, la même police de la Lukunga fait état de l’arrestation de Diomi, pour besoin d’enquête, mais sa famille biologique parle de son enlèvement par les « services ». La confusion s’amplifie par la suite, lorsque les sources policières parlent de l’évasion de l’intéressé, alors que sa famille biologique et son parti crient à la ronde qu’il a été enlevé et détenu au secret dans les cachots des services spéciaux. Ainsi, pendant plus de trois mois, Diomi ne fait pas signe de vie. Entre-temps, le Procureur général de la République a introduit, auprès du Bureau de l’Assemblée Nationale, une requête sollicitant l’invalidation de son mandat et la levée de son immunité parlementaire, en vue du déclenchement des poursuites judiciaires à sa charge.

Mais, à deux jours de l’ouverture du sommet de la Francophonie à Kinshasa, Eugène Diomi réapparait brusquement. Sa famille et son parti racontent qu’on l’a retrouvé abandonné sur la route du Bas-Congo, malade et terriblement affaibli…la barbe hirsute. Des sources policières et judiciaires relèvent, pour leur part, que l’incriminé est sorti de lui-même de sa cachette, après trois mois de cavale, en vue d’attirer sur lui l’attention des participants à la rencontre mondiale de l’espace francophone.

Alors que l’on croit l’affaire close, son dossier rebondit à la session parlementaire de septembre. Malade et opéré à l’Hôpital de l’Amitié de Ndjili, à en croire sa famille et ses avocats, Eugène Diomi fait savoir au Bureau de l’Assemblée Nationale qu’il n’est pas, physiquement, en mesure de répondre à son invitation en vue de présenter ses moyens de défense. Au finish, il est déchu de son mandat de député. Et le temps passe, sans que l’on sache si le Parquet général de la République va effectivement passer à l’action ou classer le dossier sans suite. La réponse ne tarde pas à venir. Au mois d’avril 2013, Diomi est de nouveau mis aux arrêts, entendu au Parquet général de la République puis placé en détention préventive à la Prison Centrale de Makala.

En dépit de ses ennuis de sa santé et d’un Arrêt de la Cour Suprême de Justice l’assignant à résidence, il est maintenu à « l’Université de Makala », jusqu’à ce jour. Pour avoir déjà passé près d’une année en prison, il lui reste encore 9 années à purger, en compagnie d’un autre célèbre détenu d’opinion, le pasteur Kutino Fernando. Condamné lui aussi à dix ans, il en est présentement à sa huitième année à Makala.
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Message par Mathilde Ven Avr 18 2014, 13:14

LA CROISADE DE LIBERATION DU PRISONNIER POLITIQUE DIOMI NDONGALA CONTINUE: REPORTAGE DU 17/04/2014 DEVANT LE BUREAU DU PREMIER MINISTRE BRITANNIQUE
18 avril 2014

LIBEREZ DIOMI NDONGALA JEUDI 17 AVRIL 201 A LONDRES TOKO TELEMA PARTOUT PONA LIBERATION YA MWANA MBOKA
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SIT IN DE JEUDI 17 APRIL 2014 DEVANT N° 10
DOWNING STREET BUREAU DU PREMIER MINISTRE
DAVID CAMERON A LONDRES . TOSANGISA LIBERATION YA MWANA MBOKA DIOMI NDONGALA.




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Message par Mathilde Mar Avr 22 2014, 10:56

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Message par Mathilde Mar Juin 24 2014, 11:55

Tokomi Wapi : Déclaration du parti de DIOMI DONGALA, et la MPP sur la situation actuelle du pays.

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